Non seulement Monsieur avait 21 cm bien épais entre les cuisses mais accompagnés d'une paire de couilles de folie! Et le tout avec un côté, je dois le dire, parfait: bite très raide, très droite, veineuse, lisse enfin le rêve.

Moi je fais 180cm, 70kilos, dessinés mais très fin tout de même, mat, cheveux noir, visage fin, barbe de trois jour.

Son délire? "Jouer avec un mec qui obéit". Ce sont ces mots.Je lui ai donc demander "jouer à quoi? Tu fais quoi?", ce à quoi il répondit:

-jouer, point. Je te pose des questions. Tu répond bien ou tu répond mal. Après c'est la difficulté c'est selon les cartes… Si tu veux en savoir plus invite moi mon beau.

Que dire? Ça: "mais je t'attends!".

20 minutes plus tard il était à ma porte, beau (très) grand -un super bon point- avec une bouteille de vin et un sachet. Dans le sachant? Des cartes.

On s'installe.

Tout en buvant, il me dit que le jeu allait commencer. Pour atteindre le sachet il dut venir se pencher vers moi et à ma grande surprise, derrière ce beau physique, ce magnifique sourire à tomber, se cachait une bête car, au passage, il me glissa à l'oreille "c'est un jeu pour salope, j'aime que les grosses salopes".

Mon sourire paru l'enchanté!

-Capitale du Soudan?

-Pardon?

-La capitale du Soudan, qu'est ce que c'est? répéta-il.

-Euuh…je…je ne sais pas, répondis-je sincèrement

-Perdu, dégrafe moi les boutons.

Il se mit debout devant moi et j'obéis. Pendant que je défaisais les boutons de son jean il prit une autre carte. Je voulus toucher, profiter, caresser mais il me dit que non et lu une autre question!

-Droit de vote des femmes en France?

-44.

-Bien.

…

Les questions s'enchaînèrent et à chaque erreur, il me dit d'enlever quelque chose, avec un ton autoritaire de mâle puissant, soit sur lui, soit sur moi. De part la tension sexuelle qui émanait de ce jeux, je devenais vite un très mauvais gagnant… Les réponses ne venaient pas, j'étais obsédé par l'odeur de ce mec, toujours proche, parfois debout devant moi, parfois assis à mes côtés, par sa voix, enfin tout me plaisait. Je fus très vite nu. Lui avait sa chemise ouverte sur un torse aux poils noirs en entretenus, très dessiné mais pas trop muscler, je n'aime pas les six packs et pec énormes. Là tout était bien, c'était dingue!

Bref, il avait ça et son boxer, point.

Ce boxer, parlons en. Difforme.

Non, non, non ce n'est pas une critique, il était difforme car on voyait très (trop?) nettement la forme de sa queue, extrêmement raide. Difforme et trop petit, trop petit car il moulait tellement étroitement que je distinguait la grosse veine de son ses ainsi que ses deux couilles écrasées en dessous. La main devant mon ses, je me mis à bander et tentais de me tripoter discrètement.

Dix minutes plus tard, pour avoir trouver la capitale de la Norvège, il me dit de choisir, boxer ou chemise, "je fais tomber quoi". Ma réponse est évidente et mon bel Apollon se retrouva debout devant moi, sa bitte tendue comme une flèche vers ma tête!!!!! Je bavais comme une lope affamée et bandait comme un âne.

Complètement fasciné par l'objet j'avais perdu le fil du jeu, perdu l'ouïe complètement jusqu'à ce que…

"Perdu! Tu mets trop de temps à répondre!"

Et, d'un mouvement de hanche hyper rapide, il me mit ce qui est et reste la meilleure biffle de ma vie. Tel la main d'un homme en colère sa queue, grosse et raide vint frapper mon visage. Le claquement qui se produisit ajouter à la domination du geste me fit gémir.

Avec un petit air surpris dans les yeux et un sourire en coin il me dit:

"alors, on aime ça?!

-tellement… murmurais-je, les yeux animés d'une flamme obscène.

-voyons ça…

Il lâcha le tas de carte, pris son chibre d'une main, saisis mes cheveux d'une autre et là, je gémis rien qu'en écrivant, il me tira la tête sur le côté, tira son sexe (qui était sous mon visage) vers le bas et lâcha d'un coup.

-TICH! une autre biffle!

Il reprit sa queue et commença à la promener sur mon visage comme pour le caresser. Sauf que ses yeux étaient dure, intense. Entre deux caresse de son gland sur mon nez ou mes lèvres je me prenait des petits coups sur la joue, tendue.

Enfin, il se pencha et me dis

-Reprenons mais version hard: dis moi j'aime la bitte en japonais!

-Je parle pas japo…

BIM! La baffe administrée par sa queue pour ma mauvaise réponse éteignit la fin de ma phrase.

-En sénégalais!

Je fis non de la tête (qui était toujours maintenue par sa poigne d'acier mais plus droite).

-Ouvre!

Je ne compris pas de suite

-Ouvre salope! et il me donna de très léger coups de gland sur les lèvres.

Ma mâchoire tomba. Je la voulais tellement!!!!

-En chinois tu peux?

Encore un signe négatif.

-Dommage, t'en prend pour 5 minutes!

Je le vis regarder l'horloge qui était au dessus du canapé, derrière moi et, tout en regardant l'état des aiguille il avança, faisant pénétrer sa bite monstrueusement parfaite dans ma bouche.

Il me lâcha la tête et je su que c'était le moment de lui montrer la salope buccale que j'étais.

J'engloutie sa queue au maximum, je lâchais autant de salive que possible, astiquant son manche de mes lèvres serrés autour, gémissant lorsque qu'il râlait de bonheur. A genoux, je me saisit de sa queue et la posait, en la claquant sur mon visage que j'avais placé en dessous et me mit au travail de son paquet de reve. Des grosses couilles sans un poil, bien accrochée, ni trop pendante ni trop collées.

Les faisant rouler dans la salive, je le regardais droit dans les yeux, sa queue sur mon nez.

Il la tapotait, l'écrasait sur mon visage.

Je reprit le travail sur le monstre mais il m'arrêta.

-Ça fait au moins 10 minutes pas 5 là, je te dois un petit quelques chose…

Fou toi à 4 pattes cul cambré!

Je m'exécutais plus vite que jamais et lui tendis mon petit cul bien rebondi et tout lisse. Il vont s'agenouiller derrière et BIM BIM BIM, il envoyait des coups de gland sur ma rondelle qui crevait d'envie de se faire péter.

D'un coup je sentit sa langue, chaude et sur-humidifiée se coller à mon anus.

Et il lécha, cracha, embrassa, saliva sur ma rondelle qui s'écartait toute seule, le laissant carrément rentrer sa langue dedans (quelle sensation!!!).

Mon cul criait "éclate moi!!!" et il le savait!

Il posa sa queue sur ma raie, gland contre la rondelle et appuyait, tapait mon petit trou qui s'ouvrait, suppliant . D’une main il tira ma queue raide en arrière et la lâchait pour qu'elle claque sur mes abdos!

De la voix la plus "pute" possible je gémissait, alors il se décida enfin à me grimper.

il cracha un long fil de bave droit dans ma rondelle ouverte et y mit, illico presto, son gland.

-aaaaaaaaaaaah!!!!!!!!

Je ne pus contenir mon bonheur! Pas de douleur de par la haute quantité de salive virile qui mouillait mon cul, il s'amusa à me faire crier de plaisir en rentrant et sortant ce gland si parfait plein de fois.

Il me claquait le cul de sa main

-tiens! Mmmmmm oui t'es trop une chienne en fait! Tu la veux au fond hein? salope!

Une autre grosse fessée et là, venant coller son corps de mâle sur le miens il enfonça sa bitte dans mon cul.

Je sentis mon muscle s'écarter de f o r c e , une petite douleur, trèèèèèèèès largement supportable naquis dans mon cul mais de savoir cette grosse queue parfaite là, je passais outre!

J'adore qu'on me parle et m'insulte mais ne le fait jamais, et pourtant la je ne pus m'empêcher de lui prendre la tête et, tendant la mienne en arrière je lu dit à l'oreille, dans un souffle "baise-moi".

Je fus servis!

Il se releva saisis ma nuque en signe de soumission et là, ce fut l'éclate (littéralement en fait) dans mon cul. Ses couilles venaient claquées v i o l emment mes fesses, mais le bruit était couvert par ses énormes cris viriles.

-Prends ça! Sale pute putain c'est.. aaaaaah! Pute! T'es trop bonne!

Je commençais moi aussi à crier de bonheur, mon cul était plus ouvert que jamais, plus endurant surtout que jamais.

Il me mit une main devant la bouche pour que je la ferme et, f o r c e r de me contenté de gémir en bonne pute, je me laissais défoncer en levrette cambrée.

Soudain il me poussa en avant, provoquant ma chute sur le ventre et la sortie de sa bite.

La sensation était bizarre dans mon cul. Il était aussi largement ouvert que si sa queue y était et j'en redemandait.

Il se jeta sur moi.

-Tu vas morfler salope!

Sa voix était incroyablement énervée et forte, comme s'il m'en voulait d'en vouloir plus!

Il me grimpa dessus a moitié accroupis et m'enfila sa queue au fond directement. Petite douleur mais hurlement de bonheur.

En deux secondes à peine il avait pris un cousin et m'écrasait la tête dedans. je pouvais apparemment gémir mais pas crié.

Je redoublais donc d'effort sur le côté salope en rut de mes bruits.

Lui? Il n'était plus le même!

Le bruit de ses coups de bitte était dingue, j'avais mal, pas au cul mais aux genoux et au ventre à cause la f o r c e avance laquelle il m'écrasait au sol à chaque assaut de son chibre.

Au bout de vingt bonnes minutes d'insultes, de coup de bitte ultra virile il sortit.

-Bouge pas toi! Je vais t'étaler ça tu vas kiffer!

Il se mit accroupi devant mon visage. Sa queue était sur-gonflée, rouge d'excitation et tremblante de désir de lâcher du jus.

v i o l emment il me retourna et je passais de sur le ventre à sur le dos.

Prêt à me baiser la bouche, chaude, bien propre et mouiller de sa salive qui lubrifiait mon cul pendant qu'il me baisait, sa queue était dressée au dessus de moi.

Il vint me la mettre en fond de gorge. La mienne dit un bond de plaisir!!! J'adore avoir une bonne bitte en fond de gorge!

Je n'avais pas réussis avant mais là, la position favorisait la chose!

Ses couilles était sur mon nez et mes yeux, écrasées.

Il se mit à me baiser la gueule comme si je n'était qu'un trou à bitte (ce que je désirais être pour lui à ce moment!).

Il gérait très bien la chose, jamais trop v i o l ent ou trop longtemps au fond de ma gorge, juste assez pour que les soubresaut naturels de la gorge profonde ne fasse pas mal (ou pire).

Enfin il la sortie, vint s'asseoir sur mes pectoraux et se branlait très vite.

Je fus envoyé au septième ciel. Non seulement physiquement il était parfait à mes yeux, il se trouve qu'il baisait magnifiquement bien et là, comble du comble, il me lâcha du sperme très épais, un peu collant, sucré et blanc en long jet pas trop puissant qui vinrent s'écraser sur mes joues, mon front, mon nez, mes lèvres entrouvertes,, coulait dans ma bouche! Sans mentir j'eu le droit à 7 ou 8 gros jet de jute sur la gueule! Il hurlait de bonheur et j'eu encore le droit à quelques "tiens, prend ma jute salope".

Alors il écrasa sa queue sur mon visage et étala sa semence. Littéralement. J'en eu partout sur la gueule.

Il s'appliqua ensuite, une fois la débandaison légèrement commencer à ramener ce jus épais dans ma bouche et me fit le manger. Je ne mis pas plus de 30 secondes à exploser.

Mon jus à moi est plus liquide, abondant aussi mais en jet puissant. Il en eu dans le dos et moi partout sur le torse.

Ce fut un bonheur de me lâcher en buvant ce sperme si parfait, crémeux huuumm….

J'en bande encore!

Depuis on c'est revu encore et encore mais comme toutes les bonnes histoire il y a eu une fin, il est parti dans le sud pour le boulot!

FacialLover35